Rendez-vous devant le palais de justice de Saint Gaudens :
attention: jugement reporté au 20 novembre (donc le rassemblement aussi)
En effet c’est jeudi à 14h le 4 septembre, que notre camarade Dédé Barbé est convoqué devant le tribunal pour une inculpation qui traine depuis l’ancienne municipalité; il aurait distribué un tract alors qu’il était en vacances à des dizaines de kilomètres. Ce tract porterait atteinte à l’ancien maire qui lui n’a jamais porté atteinte à la sécurité sociale ….
il est des choses difficiles de dénoncer ….
Hôpital: le Directeur installe sa politique ; Ne soyez pas hospitalisé ce jour-là
Le nouveau Directeur de l’hôpital avance ses solutions pour palier au manque de personnel:
Sous prétexte de l’hôpital en crise par manque de personnel le Directeur propose au personnel de passer en 12h par jour dans tous les services le temps de trouver d’autres infirmières…..
tu parles à qui fera t-il avaler ses boniments ; pour solutionner le problème nous lui proposons de l’accompagner auprès de la direction régionale pour demander les effectifs nécessaires à « son » hôpital.
Dans quel état physique et mental se trouvera le personnel au bout de trois jours ou trois nuits face au patient ne soyez pas malade ce jour là….
Le conseil régional de Midi-Pyrénées a décidé de réduire de moitié le nombre des allers-retours. Déjà, en Ariège, la colère gronde, tant du côté des élus que des usagers (lire La Dépêche du samedi 2 août). En Comminges, pour l’heure, le syndicat CGT cheminots interpelle les pouvoirs publics et la population. « Au 1er septembre, sont prévus cinq allers-retours journaliers, deux seulement en correspondance avec les trains. Cette mesure n’est pas sans conséquence au niveau social et économique », explique le syndicaliste Francis Hadi.« cars souvent vides »
Reste les horaires, là où le bât blesse. « Il n’y a qu’un aller (le matin) et un retour (le soir) qui soient en relation avec les Lire la suite de cet article »
L’avenir du CBE Comminges en question ; l’administrateur judiciaire n’a pas laissé d’espoir. Les principaux élus du Comminges à la tête du « pays de Comminges » portent une lourde responsabilité. Les propositions de la CGT soutenues par la majorité des membres n’ont pas été prises en compte. C’est un manque important pour le développement du Comminges.
Ciments LAFARGE à Martes Tolosane
Grève à l’appel de la CGT contre un licenciement qu’elle qualifie d’abusif au vu de la faute reprochée.
Le portail de l’usine est resté fermé de 09 heures à midi, les livraisons et départs de ciment n’ont pu avoir lieu.
Un huissier a été convoqué par la Direction pour impressionner les grévistes. Les gendarmes « qui n’avaient probablement rien d’autre à faire » été présents également.
Le conseil régional de Midi-Pyrénées a décidé de réduire de moitié le nombre des allers-retours. Déjà, en Ariège, la colère gronde, tant du côté des élus que des usagers (lire La Dépêche du samedi 2 août). En Comminges, pour l’heure, le syndicat CGT cheminots interpelle les pouvoirs publics et la population. « Au 1er septembre, sont prévus cinq allers-retours journaliers, deux seulement en correspondance avec les trains. Cette mesure n’est pas sans conséquence au niveau social et économique », explique le syndicaliste Francis Hadi.« cars souvent vides »
Reste les horaires, là où le bât blesse. « Il n’y a qu’un aller (le matin) et un retour (le soir) qui soient en relation avec les horaires SNCF », remarque la CGT. Ce que le conseil régional semble avoir pris en compte depuis. « Rien n’est figé, on va adapter les horaires à la demande », poursuit M. Espigat.
Les élus locaux temporisent. Jacques Pavan, maire de Salies, est « défavorable » à cette modification. « Les cars sont quasi-vides, c’est vrai. Mais les gens de Salies prennent leur voiture pour aller à Boussens. Là où il faut réfléchir, c’est sur le nombre de navettes à partir de Boussens vers Toulouse. Il en faudrait toutes les demi-heures, comme ce qui se fait à Muret. » Une réalité que partage Christian Sans, maire de Boussens et conseiller général: « J’ai été alerté par les usagers début juillet. Au-delà de la nécessaire rentabilité, on m’a certifié que les plages horaires seraient adaptées avec le prochain cadencement. »