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Avec l’appui du conseiller général le patron impose au personnel la dénonciation d’un accord de modulation du temps de travail.

Le prétexte avancé semble fallacieux : le patron indique vouloir pouvoir faire effectuer au personnel 40h par semaine mais à la lecture de l’accord la modulation lui permettrai de monter jusqu’à 44h par semaine.

Alors que cache cette manœuvre, et cette tentative d’intimidation du personnel : en effet jeudi réunion du personnel en présence du patron Assemat, du repreneur, et de M. Leclerc pour indiquer au personnel qu’il faut qu’il renonce à l’accord de modulation sans explications viables ci ce n’est que Assemat pour conclure l’exposé de M. Leclerc,indiquait si vous ne signez pas « je la clef sous le  paillasson ».

Puis le personnel est invité à signer au bas d’une feuille devant le trio réuni (patron, repreneur, et Conseiller Général) son acceptation.

Pour mémoire la veille mercredi, lors de la réunion d’information du personnel celui-ci avait voté à bulletin secret à la quasi unanimité des présents (23) pour le maintien de l’accord dans l’attente de nouvelles élections.

La démocratie n’est pas du coté tu patron dommage que des élus se fourvoient dans de telles pratiques.