La Direction s’appuyant sur la nécessité d’acheter les murs refuse de régulariser les primes dues aux salariés. De qui se moque-t-on de nouveau, ou est la nécessité à ce jour pour notre direction d’acheter des murs, de devenir propriétaire, en privant les salariés de leurs primes dues.
Pour démêler cet imbroglio voici quelques éléments de réflexion au moment où on va demander à l’association gestionnaire L’AGESEP31, de financer une nouvelle fois la NASEP « propriétaire des murs » aux dépens des salariés et des résidents.
Ces quelques éléments non exhaustifs, doivent nous interroger sur la volonté affichée par le président d’acheter les murs à l’association NAFSEP qui, semble-t-il n’a pas eu un comportement exemplaire tout au long de ces années.
En effet la NAFSEP demande au locataire : l’AGESEP31, d’assurer les grosses réparations et le financement des emprunts antérieurs et dans le même temps l’AGESEP31 devra verser un loyer que l’ARS trouve abusif.
Au vu des informations dévoilées la transaction entre les deux associations devrait se faire sur la base du franc symbolique :
Nous interpellons le conseil d’administration pour qu’il joue la transparence dans cette transaction et qu’il la suspende car nous pensons qu’il n’y a pas nécessité a subitement devenir propriétaire au prétexte d’un transfert de fonds vers la NAFSED.
Il serait vain et déloyal d’une part d’acheter du foncier qui serait déjà payé…. et d’autre part de refuser de respecter la législation du travail en ne payant pas les primes dues aux salariés.
Nous réitérons la demande de paiement des primes dues au personnel.
Le 20 octobre 2011
les salariés qui demandent ces primes, ont accepté pendant 10 ans la gestion exécrable qui les a menés au bord du gouffre. De 1983 a 2006 que c’est-il passé? a chacune des assemblées générales ils ont voté pour les budgets qui leur ont été proposés, sans conscience. Ils avaient des représentants aux CA qu’ils ont élus démocratiquement et ont bénéficié d’aménagements d’horaires sans jamais demandé de clarification sur les règles du jeux qui leur ont permis de travailler très en dehors des préconisation de bientraitance.
Aujourd’hui ils font payer aux usagers leurs contraintes de travail par un moindre service pour ne pas avoir a travailler plus, les vrais efforts, sont fournis par les malades. les salariés ne renonceront pas a leurs poses clopes ou café, mais le résident devra lui rester au lit une journée de plus s’il manque un salarié dans le service, bref, conjuration des imbéciles ecoeurante, cautionné par des syndicat obsédés par les heures de représentativité, démocratie en danger , les moutons se prennent pour des loups !